On papote et on piaille ... entre filles (: { Clochette

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Poppy & Clochette

Aujourdh'ui, le temps n'étais guère clément, le ciel était gris et aucun, non aucun petit nuage n'avait osez pointé le bout de son nez ! C'est ainsi que Poppy vit que son petit nuage rosé était introuvable avec un temps pareil. Elle songea alors à quelque chose ; peut-être Peter était-il partit de Neverland ? D'où pourquoi le temps était ainsi. Néammoins, Poppy n'acceptait en aucun cas le fait qu'il puisse pleuvoir d'ici quelques temps. Peter Pan, c'était quelqu'un qu'elle appreciait beaucoup, et ce parce que " les amis de mes amis sont mes amis ". En effet, c'était le meilleur ami de sa meilleure amie depuis toujours, Clochette. Cette dernière était la seule a qui elle pouvait se confier sans être juger ni autre chose. Elle savait pertinnement que son sentiment était réciproque, car les deux jeunes fées ne peuvent pas survivre loin l'une de l'autre au bout d'une semaine. Il y avait deux jours, elles avaient pris le thé chez Peter, hier, elle avaient déjeuné sur le petit nuage rosé de poppy. Aujourdh'ui la petite fée avait eu comme projet de volé jusqu'à Londres avec sa meilleure amie pour ramener des enfants, car en ce moment, il n'y en avait pas beaucoup. Mais malheureusement ! Le temps avait annulé tout ces projets, à cet heure ci, les enfants ne sont plus dans leur chambre mais dans la salle à manger en train de boire du chocolat chaud avec leur mère et leur père ...

La jolie petite fée tenta de lancé des sortilèges au ciel pour que le temps devienne plus clément, et que des petits nuages apparaissent dans le ciel. Malheureusement, elle n'y arrivait pas, ce qui lui fit penser que Peter était bel et bien partit de Neverland - provisoirement - A cet pensé, elle imagina Crochet en train de saliver et cherchant la cachette du petit garçon. Elle souria et commença à s'habiller d'une jolie petite robe vert printemps, et se coiffant d'une courrone florral qu'elle avait confectionner ce matin même. Et puis elle s'envola.

Poppy cherchait du regard la cachette de peter pan. En fait, c'était juste un grand arbre, avec un entrée en forme de petit triangle. Et dire que le capitaine Crochet ne l'a jamais trouvé ! Quand elle pensait à ce pirate, elle pensait aussi à Rosalie. Cette dernière était une fée, tout comme elle, mais aussi c'était la plus prétentieuse de tout Neverland. Elle s'amusait à faire n'importe quoi, et a attirer le malheur à Neverland. D'un coup elle se demanda même si ce n'était pas elle la cause d'un temps aussi gris . C'était possible. A cet instant, la petite fée s'arreta et se posa sur la sol froid et humide de la forêt de Neverland. Elle se frotta les bras, il fesait vraiment froid ! Cela fesait si longtemps qu'elle n'avait plus sentit une sensation glacial comme ça, c'est pourquoi elle se depecha de rentré dans la cachette de peter.

A l'interieur, le temps était plus chaud, se qui la reconforta un peu tout de même. La pièce était rempli de de chataignes, il était vrai que c'était bientôt l'automne, et que plusieurs chataignes avaient déjà apparut sur plusieurs arbres. Par cotnre aucune n'était ouverte. La fée s'assit dans un coin, attendant avec impatience, le principal interressé, peter pan .... Mais il n'arrivait pas. A la place, une jolie fée au sourire angélique entra dans la pièce.Clochette!

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Poppy && Clochette

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Défonçant la porte de ma cabane, je courais à présent dans la forêt. J’étais habillée d’une robe de princesse, les cheveux ramené en chignon, je respirais très difficilement. J’étais faible mais arriver à courir, ma peau ne brillait presque plus ! Mais je l’avais entendus, ce crie déchirant, Poppy était en danger. Ma robe se déchirait à fur et à mesure que j’avançais dans la forêt, les larmes commencèrent à couler le long de mes joues, je ne la trouvais pas, elle n’était pas là… Je fini par trébucher sur un rocher, et pars magie, je me retrouvais dans une clairière de sable gris. Le ciel était menaçant, le vent était doux mais héritait le visage et il y avait un silence pesant. Je me relevais avec difficulté et tourna la tête dans tous les sens avant de trouver Poppy allongée pars terre, sa lumière était éteinte, et pour toujours. Je tombais à genoux et cria, sanglota, je n’étais pas arrivé attend. Puis un rire résonna, un rire méchant, cruel… Je tournais la tête vers se rire, c’était Peter qui était plier en deux, se tenant le ventre, il était mort de rire… Je ne compris pas, ce ne pouvais être lui, peut être que c’était une blague, peut être que Poppy aller se réveiller là, tout de suite, mais non, au lieu de ça, jenayziàh arriva derrière Peter, le sourire aux lèvres. Le garçon se leva, cessant ses rires et enlaça la dernière. Je cru que l’on m’avait enfoncé un couteau dans le cœur, mais se n’était pas une impression, le couteau était là, planter dans ma poitrine.

Poppy raconte _ A la minute où je vis ma meilleure amie, accablé et pleurant toute les larmes de son corps, mon reflexe fut de la rattraper et de la serrer dans mes bras. Qu'avait elle ? C'était assez étrange pour moi de la voir ainsi. Elle qui d'habitude rayonnait et me fesait sourire ! Cette fois, j'avais l'impression que cela allait être le contraire. Alors que je lui dit de s'asseoir à coté de moi, je sorti un pot de confiture ( un peu lourd je dois l'avouer ) et pris un bout de mie de pain qui se trouvait sur la table. Je tartina la miche de pain de la confiure de myrtilles et vola jusqu'à Clochette, avant de lui tendre le pain. La confiture, c'était un peu notre met preferé lorsque l'on fesait un goûter, et en lui offrant cela, c'était un peu comme un clin d'oeil. Lui faire rememorer nos belles après-midi et peut-être la faire sourire ?

Mais cela ne fonctionna pas, et au lieu de sourire et de me réclamer encore du pain, la petite fée me retendit le pain. Là, je commençai à m'inquieter, ce n'était pas normal que ma Clochette soit aussi maussade, aussi triste ! J'essayais de me creuser le cerveau pour deviner ce qui pourrais lui faire plaisir. Je partis près de la cheminé, et j'en ramea quelques chataignes chaudes, qu'avait sans doute preparé Peter avant de partir. Je cassa l'envellope naturel de l'aliment, et en pris un petit bout, avant de lui souffler dessus, car il était très chaud. Je finis par le tendre à ma meilleure amie, et je mangea le reste, assez difficilement, je le repète c'était vraiment chaud. Cette fois, j'obligea Clochette a enfourner l'aliment dans sa bouche.

- Clochette, pourquoi es-tu triste ?

Je savais que dans les deux minutes qui allait venir, elle allait me repondre, en sanglotant, mais je prenais le risque. Tellement son coeur était ronger par le chagrin que sa lumière tantôt s'allumai, tantôt grissonait. cela me fesait tellement peur, que je l'emmena près de la cheminée où le feu crépitait. A cet instant ma meilleure amie commença a me conter le pourquoi de cette grande tristesse.

» Clochette && ses petits liens chéris
» Clochette aime ses ami(e)s c'est pour ça qu'elle veut des rp's